Gabriela Berrutti se consacre à l’art depuis une enfance passée sous l'influence d'un grand maître de peinture uruguayen. Elle a ensuite étudié aux Beaux Arts puis dans des écoles privées. Elle peint des toiles dynamisantes visant à toucher la dimension positive qui est en nous.
Gabriela Berrutti : " c'est presque au hasard que nous avons découvert Saint-Barth. Le médecin de famille de notre fille aînée qui souffre de problèmes respiratoires nous a recommandé d'essayer de l'emmener aux Antilles où nombre de ses patients se sont nettement améliorés. D'abord mon mari est arrivé, et une fois installé, le reste de la famille a voyagé pour voir l'endroit. Dès que nous sommes descendus de l'avion, notre fille de presque 6 ans s'est exclamée: "Maman, je respire!" À cette époque, nous savions que Saint-Barth serait notre maison.
C'est ainsi que nous avons commencé à connaître et à aimer «notre île» en laissant de côté notre passé, notre famille, notre profession et notre confort économique. Il y a un an, nous avons dû déménager à Saint-Martin pour que nos filles poursuivent leurs études, mais notre cœur est toujours à St Barth, tout comme mon travail d'artiste."
Gabriela Berrutti has been painting since she was a child, guided by one of the most famous Uruguayan painters. She studied and practised in private paint schools and public School of Fine Arts. Her creations aim at awakening happiness and positivity.
Gabriela Berrutti : " it was almost by chance that we discovered Saint-Barth. The family doctor of our eldest daughter who suffers from respiratory problems recommended that we try to take her to the West Indies where many of his patients have clearly improved. My husband arrived first and, once settled, the rest of the family traveled to see the place. As soon as we got off the plane, our almost 6-year-old daughter exclaimed: "Mum, I'm breathing!" At that time, we knew that Saint-Barth would be our home.
This is how we started to know and love "our island", leaving aside our past, our family, our profession and our economic comfort. A year ago, we had to move to Saint-Martin for our daughters to continue their studies, but our heart is still in St Barth, just like my work as an artist."